Je devrais plutôt dire la courbe aléatoire directrice du PS car l’image est de plus en plus trouble. Ca me fait penser aux supporters d’équipe de foot irrégulière (PSG, OM maintenant Lyon), on croît que tout va mieux, que tout fonctionne bien, que le titre reste jouable et d’un coup patatras, une défaite et c’est la spirale infernale.

Martine Aubry était en train de se forger une image certes austère mais sérieuse, travailleuse, droite dans ses bottes. Un peu à la Angela Merkel. Je me dis c’est bon elle adopte une recette qui a fait ses preuves. Il reste une chance pour 2012 de battre Sarkozy.

Et pouf, voilà qu’apparaît l’imbroglio sur l’âge de départ à la retraite. Hier, elle affirmait être prête à discuter sur l’idée d’un départ à 62 ans. Aujourd’hui c’est 60 ans. Demain, ça sera 65 ans ?

C’est mal parti pour le titre…